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24 janvier 2014 5 24 /01 /janvier /2014 18:07

Alors qu’EADS-AIRBUS est un brillant exemple de ce que l’Europe est capable d’offrir au monde en matière de haute technicité, de qualité d’emploi et de bonne gestion, PSA est le type même du has been Français--Sa stratégie, ses usines, ses pertes financières sont à l’image de ses propres bonnes vieilles mécaniques, aujourd’hui dépassées en Europe mais (ainsi que Dongfeng l’a compris) encore modernes et valables sur le marché Chinois.

Je suppose, j’espère, que le Président Hollande est au fait de cela. Dès lors que faut-il penser de son accord pour échanger de l’excellent actif EADS contre du mauvais PSA ? Pour comprendre, il faut d’abord accepter le fait que, comme tous les autres Présidents Français, François Hollande a trois Maitres : l’Euro, Bruxelles et les Marchés.

Curieusement, cet homme dit de gauche, est plus enclin que les autres à se plier aux contraintes d’un euro trop fort, d’un déficit public trop faible et d’une dette maitrisée…même au prix d’une croissance anémique et d’un chômage élevé. Comme il l’a fait tout au long de sa carrière, il essaie de concilier une politique économique de droite tout en donnant à sa gauche des gages sur des avancées sociétales et autres évolutions des mœurs.

Son «Pacte de Responsabilité », improprement qualifié de virage à droite, vise deux objectifs : rassurer Bruxelles et les Marchés et maintenir le chômage sous la barre des 11%. Cela dit, on comprend mieux pourquoi le Chef de l’Etat est si préoccupé de maintenir PSA en survie même au prix d’une mauvaise affaire.

Selon Maxime Lemerle, responsable des études sectorielles et des défaillances d’entreprises chez Euler Hermès, il y eut, en 2013, 62.175 défaillances d’entreprises, toutes catégories confondues. Il en prévoit 61.800 en 2014. Pour limiter la casse le Chef de l’Etat est déterminé à mettre dès 2014 15 à 16 milliards au pot des entreprises, ne serait-ce que pour freiner les dépôts de bilans.

Le donnant, donnant n’est ici qu’un prétexte pour faire avaler la pilule à la gauche et aux syndicats.

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23 janvier 2014 4 23 /01 /janvier /2014 16:50

Le constat : Après avoir sous-estimé la crise, après avoir espéré que le SPD Allemand orienterait l’Europe vers une politique monétaire à la Shinzo Abe, le Président Hollande en est maintenant réduit à faire le même constat que son prédécesseur : Pour contenir son déficit budgétaire et sa dette, pour booster sa croissance, pour juguler son chômage, la France n’a d’autres ressources que de réduire son train de vie tout en demandant aux entreprises de produire plus et mieux.

Les méthodes : Faute de n’avoir pas su, ou pas pu (tant la gauche s’était dressée contre lui) faire ce qu’il disait, Nicolas Sarkozy se proposait, pour contrer les opposants, de recourir à l’arme démocratique absolue du referendum. Arme fatale qui lui est revenue dans la figure comme un boomerang…

La méthode de François Hollande est beaucoup plus subtile. Fort de la gauche et (sinon du soutien) de la connivence tacite des syndicats, il se pose désormais en tant que Maitre absolu : «Moi Président »…. Conception autoritaire mais qui reste inscrite dans le droit fil de l’esprit de la Cinquième.

Encore faut-il en avoir les moyens et sur ce point la balance penche en faveur de François Hollande :

---Un Sénat impuissant

---Une Assemblée Nationale complaisante.

---Des syndicats atones.

---Une opposition divisée, prête à l’appuyer sur un tropisme libéral.

---Un Premier Ministre (et son gouvernement) aux ordres.

---Une vague conscience générale que, quoiqu’il en soit, la France va devoir retrousser ses manches.

Fort de cela, le Chef de l’Etat dit vouloir prendre lui-même les choses en main. Ayant donné ses ordres, il crée un Comité de pilotage pour en contrôler directement l’exécution et fera appel si besoin est aux ordonnances et aux décrets.

Il lui reste à persister à enfumer les forces de gauche en les occupant sur des thèmes qui leur sont cher : réorganisation régionales, cumul des mandats, lutte contre le racisme et les mauvaises pensées, allégement des règles de justice, ivg, droit des femmes, rejets de particules, ondes nocives, Fessenheim, etc. etc…

. A cela, il convient de mettre deux bémols : 1) Le résultat des municipales pourrait- il, par crainte de leur propre situation, sortir de l’apathie les élus de gauche ? 2) François Hollande, désormais au pied du mur, aura-t-il assez de caractère pour passer des paroles aux actes sans défaillir ?

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21 janvier 2014 2 21 /01 /janvier /2014 17:04

Pour les éminents commentateurs et politologues de gauche, une politique, quelle qu’elle soit, est systématiquement de gauche si elle est menée par la gauche et forcement de droite quand elle est conduite par la droite. C’est ainsi que le discours du Président Hollande, très proche de celui que tenait Nicolas Sarkozy, passe bien, là où il y aurait eu lynchage médiatique.

A cet aulne, la gauche est en droit de prétendre que puiser dans les prestations sociales pour abonder la marge des entreprises n’est pas une politique de droite puisque initiée par un gouvernement de gauche. Mais la droite, elle, ne s’y trompe pas : elle salue comme bonne nouvelle « L’annonce du remplacement de la ligne socialiste par la ligne sociale-démocrate». La « social-démocratie » étant, ici, comprise comme euphémisme politiquement correct permettant d’éviter le mot « droite » désormais suspect.

Pour arriver à anesthésier la gauche, François Hollande s’est employé pendant les 18 premiers mois de son règne à la plonger dans un état comateux à coups d’offres de carrières et de «boites à outils». Le coût (en milliards d’euros) ayant été supporté par les contribuables et les chômeurs dont le nombre (par rapport à mai 2012) est en nette augmentation.

Faute d’avoir renégocié le pacte européen et d’exiger de l’Europe un engagement plus Keynésien Le Président Hollande se trouve maintenant coincé entre les exigences de Bruxelles, les attentes du Marché, la montée du chômage et le ras le bol fiscal…. Fort heureusement l’opposition, entre déchirements mutuels et ambitions personnelles a d’autres chats à fouetter. Si bien que la même question de confiance, qui en 2012 eut été à haut risque, n’aura pas de mal à passer. De ce point de vue on peut tirer son chapeau devant l’habileté politique du Chef de l’Etat.

Mais les faits sont têtus ! François Hollande est désormais au pied d’un mur qui reste à franchir :

1) Le plan n’est pas assez ciblé, pas assez précis et reste trop théorique.

2) Les mesures prévues ne sont pas encore assez à la hauteur de l’enjeu. 3)

Alors que le temps est désormais compté le Premier Ministre n’a pas le profil pour amener suffisamment de résultats dès 2017. Un Clémenceau serait le bienvenu.

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20 janvier 2014 1 20 /01 /janvier /2014 09:21

A lire la plupart des commentaires, c’est ce qui ressort de la conférence de presse que le Président De la République a récemment tenue. Le Centre en a profité, illico, pour faire le grand écart : Après avoir incité à voter pour la gauche François Bayrou, s’allie, pour ce faire élire, avec L’UMP. Dans le même temps Jean-Pierre Raffarin se rapproche de François Hollande.

Sur son carnet <jpr@carnetjpr.com> Jean-Pierre Raffarin, sous le titre « Double lucidité » expose point par point les raisons pour lesquelles Il appuie le Président Hollande, au moins dans sa parole de baisser les charges qui pèsent sur les entreprises françaises. « Nous n’avons rien à perdre à dire « chiche », s’il échoue la France tirera les leçons de « son » échec, s’il réussit c’est la crise qui s’éloignera de la France. Entre la politique et la France, je choisis la France »

Que dire de plus ? Sinon adhérer aux propos de l’ex Premier Ministre expert en finesses politiques…

Mais l’homme «normal », celui de la rue, ne peut s’empêcher de méfiance :

1) Mensonges ou palinodies ? Peu importe ! le Président Hollande s’est déjà tant de fois dédit que sa crédibilité auprès du Peuple flirte avec le zéro.

2) Réduire le renouveau entrepreneurial des PMI/PME françaises à un marchandage pécuniaire est une fausseté de plus. Bien d’autres facteurs sont en cause dont certains relèvent de l’idéologie sur le travail et l’enracinement du ressentiment patronal. Alors que le gouvernement a le pouvoir de réduire les charges, les patrons ne sont pas en mesure de quantifier les embauches. Tout engagement chiffré de leur part relèvera de la promesse de gascon.

3) Problème de temps : Tout en reconnaissant à la gauche sa capacité à réduire le déficit budgétaire, le gouvernement a déjà perdu 20 mois en ce qui concerne la relance par l’activité. Même si l’intention de renouer avec la croissance par la production de richesses était sincère (ce qui reste à prouver) le pilotage par Jean-Marc Ayrault implique (ne serait-ce que par sa méthode) lenteurs et voltefaces. Par son obstination à maintenir son Premier Ministre, François Hollande montre qu’il vise 2017… Si ce temps est raisonnablement court pour un parcours politique, il se révèlera terriblement long pour les chômeurs.

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17 janvier 2014 5 17 /01 /janvier /2014 12:32

On fait couramment confusion entre France et Français-- Nombreux sont ceux, riches et pauvres, qui tout en se faisant du souci pour la France feignent d’ignorer que c’est elle qui les enterrera tous.

Même si la France (ce fût souvent le cas au cours de son histoire) allait plus mal qu’en ce moment, elle dispose de deux appuis extérieurs essentiels : le soutien des marchés et mieux encore celui de l’Europe qui ne peut pas, quoiqu’il en soit, la laisser tomber.

Mais la chose est très différente pour les Français. L’exemple Grec est frappant : si la Grèce en tant que pays ne pâtit pas de ses difficultés, il n’en est pas de même pour ses citoyens notamment les plus pauvres.

Faute de faire ce distinguo, il est difficile de comprendre les revirements de François Hollande qui en tant que Candidat socialiste s’attachait au sort des Français, et qui, une fois Président, met les citoyens à la peine en donnant la priorité à la France plutôt qu’à son peuple. Il s’ensuit un sentiment de confusion, sorte de dilemme sentimental dans lequel les socialistes ont du mal à trancher entre leur amour pour la France et celui des Français.

François Hollande et Jean-Marc Ayrault courent de l’un à l’autre en essayant de concilier les deux. Je ne sais pas ce qu’en pense la France mais, si l’on en croit les sondages, les Français, eux, ne sont pas ravis.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 13:43

Vous voici tout guilleret, prêt à soutenir François Hollande à la seule annonce de son coming out centriste. Par déférence je ne dirai pas que le Président vous ment mais il vous induit en erreur et vous ne méritez pas ça !

Il vous induit en erreur quand vous croyez que demain il fera en sorte que l’on rase gratis alors que depuis vingt mois il nous fait pousser de longues barbes.

En 2009, on avait expliqué la crise politique en invoquant la crise économique et la personnalité de Nicolas Sarkozy mais les chiffres sont encore pires aujourd'hui, cinq ans après.

En 2013, ce sont 4.880 entreprises ayant un chiffre d'affaires de plus de 1 million d'euros qui ont fait défaut, soit 63% de plus qu'à la fin 2007, avant la crise financière de l'automne 2008. Ce niveau est presque équivalent à celui enregistré en pleine crise fin 2009 qui s'établissait à 4.986 défaillances. Toutes catégories confondues 62.175 ont fermé leurs portes rien qu’en 2013. La prévision pour 2014 est de 61.800 ce qui équivaut à la destruction de 165000 emplois de plus.

Le Président vous dit en guise d’excuse qu’il avait mal évalué la crise…Quelle crise ? Celle du CAC 40 qui est à son plus haut niveau ? Celle de la Bourse qui atteint des sommets ? Celle des avionneurs qui ont le plus grand mal à faire face tant ils ont de commandes ? Et vous croyez que quelques petits arrangements entre MM. Gattaz et Ayrault vont suffire? Sans rien changer aux problèmes de l’immigration et de la justice ? Sans modifier les conditions d’aides au chômage ? Sans demander de travailler plus ? Sans dégraisser le mammouth politique sans diminuer aussi le nombre d’élus ? Sans diminuer le nombre des Fonctionnaires ? Sans résoudre le déficit récurrent de la balance commerciale ?...

Cher, très cher, Monsieur Borloo….

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15 janvier 2014 3 15 /01 /janvier /2014 12:59

De Gaulle avait pour ambition de servir la Cinquième République. François Hollande a pour souci de s’en servir. Depuis 1968 une lente évolution pousse à l’utilisation de la République à des fins personnelles ou de partis, gauche et droite confondues.

Par certains côtés elle apporte un peu de fraicheur dans un monde qui en a bien besoin. L’idée que la nuit venue, un Président de la République aille, en scooter, courir la prétentaine dans les rues de Paris, me rappelle le temps de ma jeunesse et de la mobylette…

Je me souviens qu’en ce temps-là l’envie de courir les filles perturbait quelque peu mes études et j’ai une vraie admiration pour un Chef d’Etat dont des pensées tendres et charmantes ne le font pas se distraire de son devoir devant M. Gattaz ou Ayrault…

A ce sujet, puisque la mode est à négocier l’avenir de la France comme aux temps des foires du Lendit, je gage que dans le bras de fer de malin à malin qui s’engage entre le Patron des Patrons et le Chef de l’Etat, M. Gattaz ne sortira pas vainqueur. A ce jeu-là François Hollande est bien plus fort que lui.

Entre les dérives de Dieudonné et les merguez de Nicolas Bedos, le rire est bien triste aujourd’hui, alors remercions les élus qui nous font dilater la rate comme au bon vieux temps de Feydeau.

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14 janvier 2014 2 14 /01 /janvier /2014 15:10

~~Monsieur Juppé est le symbole même de l’intelligence vive, du jugement balancé et de l’honneur politique. S’il milite pour le droit au respect de la vie privée du Chef de l’Etat sans doute a-t-il raison… Pourtant, le Général était si soucieux de ce que le Président de la République dût incarner la grandeur de la Nation, que je m’étonne qu’un Gaulliste comme lui, puisse, au seul nom du principe de respect de la vie privée voir l’image de la France ainsi écornée.

Il est vrai que si l’histoire est un éternel recommencement nous n’en sommes pas encore revenus au temps de Félix Faure…

Il me semble que dans son raisonnement M. Juppé omet un point essentiel : Où est, dans la fonction Présidentielle, le seuil entre vie publique et vie privée ? Pour un homme «normal» pas de problème.

--Il quitte la femme dont il a eu quatre enfants : vie privée.

--Il prend une maitresse : vie privée. Mais quand cet homme, devenu Président, invite sa maitresse, aux frais du contribuable, à vivre au Palais de l’Elysée cela mêle vie privée et argent du contribuable.

Et si pour cause d’une autre éventuelle maitresse (ce qui est du privé) il use de véhicules, de gardes du corps (et pourquoi pas, de logements), est-ce au contribuable de payer les élans amoureux du Président ?

Pourquoi pas après tout… Mais ce qui choque c’est le manque de clarté, ce qui choque c’est l’embrouillamini savamment orchestré entre vie publique et privée, ce qui choque c’est le défaut de respect dû aux Français. Car si les hommes politiques montent très vite aux créneaux pour défendre le respect de leur vie privée ils en oublient facilement celui qu’ils doivent aux Citoyens. De là une désaffection du Peuple, un engouement préoccupant à des idées nocives auxquelles les politiques devraient être bien plus attentifs

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13 janvier 2014 1 13 /01 /janvier /2014 12:40

La Cinquième République, forme actualisée d’une sorte de Monarchie Démocratique, reposait sur un pilier fondamental : La stature du Président de la République.

La Monarchie d’autrefois voulait que le Roi soit, si j’ose dire, toujours sur la brèche, jusque et y compris celle de la chaise percée… «L’Etat c’est Moi » clamait Louis XIV exprimant aussi par là qu’il n’y avait nul moment, nulle contingence que le Roi ne dut consacrer au pays…

Mis à part la modernisation des toilettes, on retrouve dans l’esprit de la Cinquième le même souci d’incarnation de la Nation par une personne (le Président de la République) qui s’y consacre corps et âme jusqu’au sacrifice de sa vie privée.

On reprend d’ailleurs, hors des fastes des Palais, cet esprit dans la Présidence Américaine. Vie privée et publique du Président se confondent dans un même objectif d’image et de service à la Nation. Pour être plus près du Peuple, on appelle « Maison » le lieu du Pouvoir où vivent le Président, sa Femme, ses Enfants et… son chien. En plus de sa mission de gouvernance le Président américain et sa Femme, ont un devoir d’image, par représentation symbolique de respectabilité qui lie la banalité d’une famille américaine «normale» au prestige de l’Etat Américain.

Après de Gaulle ce concept s’est, peu à peu bâtardisé, jusqu’au point d’orgue actuel. Désormais, vie privée et publique sont distinctes. C’est dans un «Palais» qui lui tient lieu de bureau que le Président exerce sa fonction, laquelle, bien qu’empreinte du souci de servir hautement la République, cesse dès lors que sonne l’heure de la pause. Commence alors la vie privée dont le droit au respect et au secret est jalousement gardé.

De ce fait le Président est bien plus près de la fonction de Président du Conseil sous la Quatrième République que de Président de la Cinquième. Il n’empêche que cette Cinquième rétrogradée en Quatrième porte à confusion. Peut-être faut-voir là une des raisons de la désaffection d’une majorité des Français pour François Hollande.

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9 janvier 2014 4 09 /01 /janvier /2014 20:29

Dans l’affaire Dieudonné, Manuel Valls démontre ses capacités d’homme d’état : En dehors des basses polémiques il a une juste vision du danger que représente la désignation des Juifs comme responsables des malheurs du monde et plus précisément ceux du moyen orient-- Bien plus encore dans le contexte actuel par la possible déportation des troubles de ces régions vers le territoire français.

Il sait que c’est à partir de simples libelles sur le terreau propice des souffrances Russes et Allemandes que ce sont allumées les mèches qui ont conduit à l’incendie nommé shoah.

Il a compris que Dieudonné n’est pas un humoriste ordinaire dont les dérapages imbéciles relèvent tout au plus de petites sanctions judiciaires qu’il n’assume même pas. Dieudonné est un agitateur politique dont il reste à démontrer qu’il ne sert que des intérêts personnels plutôt que des positions extrémistes qui n’ont rien à voir avec les justes revendications Palestiniennes.

Il a pris le risque d’être désavoué par une Justice exonérée de toute responsabilité politique ou sociétale par la sacralisation de son indépendance que la Garde des Sceaux veut encore renforcer. Même si Manuel Valls avait perdu une manche face à Dieudonné, il aurait gagné en prestige dans le cœur des Français.

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