billets d'une pensee ordinaire

Je suis étonné que les adeptes de l’Islam dit modéré ne descendent pas dans la rue pour crier leur dégout devant l’horreur des crimes perpétrés au nom de leur religion. Mais peut-être n’y a-t-il pas d’Islam modéré.

La France est dépendante de l’Europe et, faute d’intention et de force, elle ne peut pas s’en dégager. Mais contrairement à ce que les élites croient, ou font semblant de croire, la France n’est pas une Nation. Chaque jour qui passe délivre un fait divers qui montre que l’ensemble des personnes vivant sur son territoire ne sont pas de la même unité historique, culturelle, religieuse et ne constituent pas une entité politique, contrevenant ainsi à la définition du Dictionnaire de la langue française qui dit « la nation est un « ensemble de personnes vivant sur un territoire commun, conscient de son unité (historique, culturelle, etc.) et constituant une entité politique^. »

En vérité, La société française, multiethnique, multi culturelle est multi religieuse infiltrée par l’Islam radical. Elle reste, cependant encore dominée par l’homme blanc de culture judéo chrétienne qui croit, ou fait semblant de croire, que la France reste un État de Nation.

L’histoire dira si les élites ont eu raison de fermer les yeux, de nier l’évidence, de confondre fait divers et mal profond.  En ce qui me concerne, j’ai toujours préféré regarder la réalité en face.

Les procès de Sid-Ahmed Ghlam et sept autres accusés s’ouvrent ce lundi 5 octobre. L’étudiant algérien est soupçonné d’un projet d’attentat dans une église en 2015 ainsi que du meurtre d’Aurélie Chatelain, une jeune femme de 32 ans.

Le vrai pouvoir n’est pas à ceux qui font les Lois mais à ceux qui les font appliquer. Des Hommes de pouvoir, Montesquieu disait « C’est une expérience éternelle que tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser » En rendant leurs verdicts des années après le forfait, en faisant leur beurre de recours sans fin, en échappant à toute sanction, les juges abusent de leurs pouvoirs.

Le fameux « Gouvernement du Peuple par le Peuple pour le Peuple » qui fait rougir de fierté le frontispice de la Constitution relève de la falk news. Si le Peuple avait le moindre pouvoir il y a belle lurette que Sid-Ahmed Ghlam aurait été jugé.

La France reste une démocratie où le Peuple n’a plus d’autre aptitude que de porter ses maitres au pouvoir. Exception faite des Juges, car ceux-là n’ont besoin de personne d’autres qu’eux-mêmes pour s’autodésigner.

.

Les données objectives de la dangerosité du virus (0.05% de décès au regard de la population française parmi des personnes âgées ou fragiles) ne justifient ni la peur, ni les outrances gouvernementales qui vont jusqu’à spolier les gens.

Je n’imagine pas le Premier Ministre se laisser aller au point de perdre la boussole. Il y a donc, selon moi, d’autres raisons qui font présager que la situation actuelle va perdurer et même se durcir.

On voit bien que la plupart des démocraties ont du plomb dans l’aile. Le virus ne pourrait être qu’un prétexte pour justifier un totalitarisme à venir.

Partie de Chine, l’épidémie a fait souffler un vent de panique, en partie irrationnelle, sur le Monde et plus particulièrement en Europe où l’idée de la mort est considérée comme un scandale plutôt que comme un fait inéluctable.

En France la hantise du Président et du gouvernement est d’éviter, coûte que coûte, et quel qu’en soit le prix économique ou social, un burn-out des hôpitaux. Je ne vois pas d’autres raisons plausibles au maintien d’Olivier Véran. Même en mettant sa bourde (Les masques ne servent à rien) sur un moment d’égarement, ce Ministre, dit de la santé, est, en fait, le Ministre des hôpitaux. Trompé par des statistiques algorithmiques, *auxquelles il se fie aveuglément, il prend des mesures drastiques quel qu’en soit le préjudice économique et social, dont il se fiche comme de sa première chemise.

Si Olivier Véran n’est pas comptable de l’intérêt général, la responsabilité de l’extrême dommage dû à la surévaluation du danger viral, revient au Premier Ministre Jean Castex et c’est à lui qu’il faudra demander des comptes le moment venu.

*Les données algorithmiques ne prennent pas en compte le fait que les décès touchent essentiellement des personnes âgées ou fragiles dont la durée de vie est, en tout état de cause, limitée. Pour les algorithmes mourir à vingt ans et à quatre vingt c’est la même chose !

Simple constat : la science est, dans l’état actuel des choses, incapable d’éliminer le virus. On ne peut que se replier sur des mesures défensives, dignes du moyen-âge, dans un climat de peur propre à les faire appliquer.

1. Il n’y a pas de sérieuses raisons permettant de fixer un délai sur la fin du danger.
2. La vie reprenant ses droits il sera de plus en plus difficile de contraindre les gens.
3. Les effets secondaires, santé (hors virus), économiques, sociaux, psychologiques, sont, pour le moment, encore inconnus.
4. La pleine conscience des difficultés que pose cette épidémie n’autorise aucune arrogance à l’égard de ceux qui l’assument. Pourtant je regrette le climat brouillon qui prévaut et j’eus préféré que chacun reste à sa place. Le défilé des médecins qui font de la politique et des politiques qui font de la médecine ne me parait pas de bon aloi.