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25 septembre 2012 2 25 /09 /septembre /2012 08:36

 

Des Socialistes et des Verts, qui trompe l’autre ? Pas facile à dire…Probablement les deux…

C’est, en tous cas, un prélude cocasse aux histoires de cocufiages qui vont se succéder tout au long de ce quinquennat. On sait déjà que la palme du cocu reviendra au Peuple mais pour les autres les paris sont ouverts. Au temps de Georges Feydeau nous n’aurions pas fini de rire. On a moins le cœur à ça aujourd’hui.

 

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24 septembre 2012 1 24 /09 /septembre /2012 08:20

L’affaire des caricatures de Charlie-hebdo pose la question de la Liberté d’Expression et plus précisément celle de la presse.

Or, selon moi, on ne saurait traiter, même superficiellement, ce sujet sans le compléter par notre propre Liberté, celle à nous déterminer par nous-même.

 

Parlons d’abord de la Liberté Civile telle que la désignait Rousseau par opposition à la Liberté Naturelle. Théoriquement l’Etat de Droit laisse les individus faire ce qu’ils veulent dans la limite de ses Lois. Surestimant largement leurs mérites et leurs capacités, les Elus s’imaginent investis d’une mission sacrée : celle de faire le bonheur des Peuples. Curieuse machine ! Au train où vont les choses, face à la mer de Lois protectrices servies par des évolutions technologiques de plus en plus prégnantes et sophistiquées on se demande ce qui reste à l’initiative de l’individu…

 

Raison de plus pour défendre bec et ongles la Liberté d’Expression. On ne peut qu’être d’accord, sur ce point, avec la position intransigeante de Christian Barbier car la moindre brèche dans ce principe ouvrirait les vannes de la censure. «Une porte ne peut qu’être ouverte ou fermée »

 

Mais il ne s’agit là que du premier volet de la question : Celui de la «Liberté Extérieure», celle que la Société nous accorde comme nous revenant de plein droit. L’autre Liberté, celle que j’appelle «Intérieure» nous met, elle, en face de nos propres responsabilités. Nous sommes là, dans un tout autre domaine, sans contraintes et sans garde-fous, face à nous-mêmes.

 

«Il n’y a qu’une Liberté : Celle à se déterminer d’agir de façon Morale »

Mais qu’est-ce qu’une façon morale ? Je laisse à ceux qui savent, ou croient savoir, le soin de le définir.

Quoiqu’il en soit on peut s’interroger sur les motivations de la «Liberté Intérieure» de Charlie-Hebdo.

---D’abord, «Agir de façon morale» aurait, pour eux, des finalités purement mercantiles : répondre aux aspirations de ses lecteurs et par la provocation augmenter considérablement le tirage. Dans un sens pourquoi en voudrait-on à des chefs d’entreprises de maintenir leurs affaires à flot et de préserver l’emploi ? Mais, si cela induit des troubles, est-ce à la Société d’en supporter les conséquences ?

---Ensuite, Charlie-Hebdo voit, peut-être, la Morale comme «Un ressentiment des faibles» (Nietzche). Dans ce cas la Morale Religieuse (Opium du peuple) serait comprise comme un ressentiment des faibles (Croyance) envers les Sociétés modernes et laïques (Raison). Cela expliquerait l’aversion de ce journal vis à vis des Religions et son obsession, quasi maladive, de les salir faisant en cela acte de purification. (Sorte d’exorcisation par mise au défi).

 

Et M. Peillon dans tout ça ? S’il est vrai que la Conscience psychologique de l’Enfant se forge au feu de l’Exemple, je me demande si, face à ces violences, les prêchi-prêcha sur une Morale basique, genre respect d’autrui, aura les effets bénéfiques dont nous assure le Ministre.

 

La remarquable tenue des Musulmans de France a, cette fois, évité le Pire…Faut-il, pour autant, laisser les enfants de Charlie jouer avec des allumettes ? Sachant que ce ne sont pas les allumettes qui posent problème, mais bel et bien les enfants.

 

 

 

 

 

 

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20 septembre 2012 4 20 /09 /septembre /2012 08:23

Une nouvelle fois, je dis et je soutiens que des gens parfaitement sensés, sagaces et perspicaces dans la vie, virent gogos dès qu’ils sont en groupes. Alors, le type le plus méfiant se ferait refiler une vieille occase en la prenant pour une Ferrari pourvu que ce soit un leader politique en vue qui la lui fourgue.

La Démocratie doit beaucoup à la bêtise de masse…. Elle lui doit même d’exister.

«Pour enchaîner les peuples, on commence par les endormir»

Il n’y aurait aucun régime Politique possible sans cette propension des Peuples au sommeil, jointe, il est vrai, aux talents hypnotiques des Candidats.

François Hollande n’est pas le seul hypnotiseur : on en voit plein, à Droite, se battre aussi pour monter sur l’estrade. Pourtant c’est François Hollande qui, le dernier, a plongé les Citoyens Français dans un profond roupillon.

 

---Qui, de lucide, aurait pu croire, que l’on pouvait bloquer le prix du pétrole dans un Pays sans ressources propres et entièrement dépendant du prix du baril fluctuant en dollars ?

 

--- Que la France allait pouvoir abjurer la signature d’un de ses Présidents sur le traité Européen comme une vulgaire république bananière ? (1)

 

---Que «faire payer les riches suffirait à compenser des milliards de dépenses nouvelles et ce sans imputer le pouvoir d’achat des classes moyennes ?

 

---Que le problème du chômage serait résolu fin 2013 et le redressement économique accompli avant cinq ans ?

 

Grâce à cette torpeur populaire les Politiques peuvent dire et promettre à peu près n’importe quoi.

Et ce n’est pas fini….Qui se souvient du scandale du Crédit Lyonnais ? Il a pourtant coûté assez cher au contribuable. Néanmoins, la BPI, nouvellement crée, est bien partie, (sauf rigoureux contrôle à la culotte) pour nous en faire un remake pas piqué des vers.

 

A ce sujet l’excellent article de Philippe Riès (à voir ce jour sur Médiapart) donne, sur ce sujet, l’avis éclairé d’un spécialiste.

 

1) Un Citoyen qui ne pourrait dépenser librement son argent sans avoir au préalable fait entériner son budget et ses emprunts auprès d’un Commissaire de la République crierait à une insupportable atteinte de sa Liberté.

Un Peuple qui subit la même chose est dans un état léthargique tel que le Conseil Constitutionnel peut lui affirmer, sans rire, que cela n’entache en rien sa Souveraineté.

 

 

 

 

 

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18 septembre 2012 2 18 /09 /septembre /2012 09:55

La Gauche ayant fait trancher contre Nicolas Sarkozy veut se persuader que le Peuple a voté pour les promesses Socialistes, d’où malentendu.

Il y a un évident décalage entre la réalité des choses et la vision utopique de nos dirigeants. J’y vois deux raisons essentielles :

--- Au départ, le Candidat François Hollande a mal évalué les réels Pouvoirs d’un Président de la République. (1)

--- Maintenant, le Gouvernement et le PS se montrent trop serviles face aux promesses du Candidat.

Nos Gouvernants parlent de la France, comme d’un Pays Souverain resté figé dans les temps bénis de la République.

Erreur ou mensonge cette vision déformée est à la base de forts malentendus.

Désormais la France n’est plus, au sens politique du terme, un Pays autonome car un Pays ne peut se dire libre et souverain que s’il réunit, au moins, trois critères :

1) Maitrise de sa monnaie.

2) Indépendance énergétique.

3) Contrôle des frontières.

 

Si la France dispose encore en partie de son indépendance énergétique (Mais pour combien de temps ?) elle a perdu sa monnaie et la protection de ses frontières.

Je n’entre pas ici dans le débat de savoir si l’Europe est une bonne ou mauvaise chose. À mon sens elle a au moins démontré qu’elle savait apporter la Paix.

Je veux simplement dire qu’aujourd’hui le Président de la République conduit une voiture sans portières, ouverte aux auto-stoppeurs et dont il ne maitrise plus totalement la conduite.

J’entends pourtant dans les discours que, la question du chômage sera résolue en France dès fin 2013 et que dans deux ans le redressement du Pays se trouvera accompli. Mais quand bien même il en faudrait cinq, une telle affirmation relève d’un paradigme erroné, lequel persiste à accréditer la croyance que des décisions purement politiques pourront palier notre dépendance. (2)

 

De tels propos ne pourraient valoir que si l’on avait, au moins, la maitrise de la monnaie. Dans ce cas une dévaluation pourrait, par exemple, changer rapidement la donne en matière de compétitivité à l’export.

Dans les faits, c’est tout le contraire : Quand la FED persiste à mouvoir sa planche à dollars, elle fait de l’Euro une valeur refuge dont la parité est surévaluée. Or, un Euro trop fort casse plus encore nos chances de compétitivité allant ainsi au sens inverse des effets propres à réduire le chômage.

En bref : on affirme l’efficacité de solutions Franco- Françaises à des problèmes, dont les causes sont, en partie, inhérentes à l’Europe quand ce n’est pas à la Mondialisation.

 

Je m’interroge sur les raisons qui poussent les Politiques à se raconter des histoires.

Est-ce par souci purement démagogique pour apaiser l’opinion ?

Ont-ils de leurs réels pouvoirs une perception altérée ?

A moins que le dit Pouvoir ne soit comme une sorte d’ivresse qui leur trouble la vue: Je préconise l’alcotest obligatoire avant toute déclaration publique.

 

 

1) Sa prétention de refuser, tel quel, le nouveau traité sur la règle d’or relevait d’une méprise sur la réalité de ses pouvoirs.

 

2) Voir par exemple la décision sur le gaz de schistes. Le refus d’études sérieuses et collégiales sur la question est sans fondement pragmatique et scientifique. Ce refus nie la prééminence de la Raison au sens Cartésien du terme. Il donne priorité à l’intérêt politique en sacrifiant « à priori » celui du Citoyen.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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17 septembre 2012 1 17 /09 /septembre /2012 16:01

Si je suis désigné, le Parti Socialiste sera une machine propre à engager «Le bras de fer» avec l’Europe.

 Voici ce que j’ai retenu des propos de M. Harlem Désir hier à la télé. J’ai également compris que, disant cela, il était dans le droit fil des souhaits du Président Hollande sur la nécessité d’une inflexion de la politique économique Européenne.

 

Pour ma part je ne porte aucun jugement sur ces propos étrangement belliqueux, m’étonnant cependant de n’en trouver nuls échos dans les médias et nulles réactions de la part de l’opposition.

 

D’autre part n’est-il pas curieux que le, bientôt, Premier Secrétaire du PS se déclare partisan de ratifier, dans l’état, la contraignante règle d’Or (que François Hollande avait rejeté telle quelle et promis de renégocier) quitte, tout de suite après, à engager, comme il dit, un «Bras de fer» Européen.

 

Dommage que les voix autorisées et expertes restent aphones sur ce sujet.

 

 

 

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14 septembre 2012 5 14 /09 /septembre /2012 14:07

Propagande : «Action concertée, organisée en vue de répandre une opinion… »

 

Je regardais ce matin sur BMFTV un expert expliquer comment les conseillers en communication avaient, aux yeux de la France entière, l’autre soir sur TF1 transformé en quelques minutes l’image de François Hollande alors en perte dans les sondages. Frégoli, capable de changer en un éclair de conviction et d’attitude, il est ainsi passé d’un coup de Président Normal et ferroviaire à une sorte d’avatar Sarkozien (vélo en moins), pressé d’agir partout quitte à troquer, à cet effet, les modernes Lisons pour des hélicos et des jets.

Le journaliste faisait bien remarquer que la présentation (sur fond de Paris noir piqué de lumières sobrement bordé de tricolore) avait eu plus d’impact sur les esprits que le discours lui-même.

 

Vieille comme le Monde, la manipulation de l’Opinion Publique est à la base de la réussite Politique.

Nous la voyons maintenant en un âge d’or dans son apogée scientifique distillée par des experts de haut niveau. Si elle contraste par sa mignoteuse subtilité avec la brutalité des propagandes utilisées dans les régimes autoritaires, l’objectif final reste le même : mettre ou garder un Chef au Pouvoir. Les Démocraties savent doser l’endoctrinement avec suffisamment d’adresse pour les mettre à l’abri d’un ras le bol populaire. Cependant le hic consiste à percevoir assez à l’avance jusqu’où aller.

 

Dans certaines Dictatures les propagandes, après avoir donné le change aussi longtemps que possible, n’ont pas pu endiguer les vagues du mécontentement. Nombre de héros précédemment idolâtrés eurent des fins terribles et lamentables.

La Démocratie a au moins l’avantage d’éviter cela à ses Maitres mais elle n’évite pas toujours le malheur à ses Citoyens.

 

 

 

 

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13 septembre 2012 4 13 /09 /septembre /2012 12:38

 

Notre ministre de l’Intérieur a révoqué Michel Neyret pour faute professionnelle grave alors même que la justice n’a pas encore statué sur son sort. Jean Noël Guérini, lui aussi mis en examen tient toujours son poste de Président du Conseil Régional des Bouches du Rhône. Deux mises en examen : le Fonctionnaire est révoqué et le Politique reste en place.

 

Nonobstant, même non Judiciable, une faute politique peut avoir un impact encore plus considérable sur la vie des Citoyens alors que ceux qui la commettent n’encourent (et encore !) que le risque de ne pas être réélus.

 

Exemple : la Banque Publique d’Investissements….

Si, comme on nous l’annonce en grandes pompes, cette Banque permet de financer des entreprises rentables et créatrices d’emploi, si, de ce fait, notre Pib augmente et si la balance commerciale en profite : Bravo ! Les Politiques n’auront pas menti.

 

Par contre si cette Banque est un moyen détourné d’ouvrir une nouvelle brèche sur le front de la dette, si, par suite d’emprunts sur le marché, elle sert à faire des prêts (plus ou moins bien pilotés par les régions) non solvables(1) et si, in fine, le contribuable est appelé à boucher les trous, alors ceux-là même qui, aujourd’hui, la mettent si bravement en place auront gravement failli.

 

En principe, nous devons tous, jusqu’au lampiste, rendre compte de nos erreurs professionnelles. Tous… sauf les Politiques !

Dans un temps où la mode est aux symposiums, je milite pour une réflexion sur l’éthique et la responsabilité politique…des Politiques.

 

 

1) Où en est exactement Heuliez ?

 

 

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12 septembre 2012 3 12 /09 /septembre /2012 13:49

 

 

 

Selon Kant : «L’usage pratique de la Raison consiste non à déterminer les meilleurs moyens pour parvenir à nos fins, mais déterminer les fins bonnes en elles-mêmes et à les vouloir»

Il semble que François Hollande comprenne cela de telle sorte qu’ayant pour la France une volonté de bonnes fins peu lui importe que les moyens pour y parvenir soient exécrables.

 

«En renonçant à faire adopter par nos partenaires européens la révision de l'objectif de réduction des déficits pour tenir compte de la baisse des perspectives de croissance, François Hollande a paradoxalement sacrifié l'objectif de croissance pour jouer les bons élèves européens ».

 

Moyens exécrables…Pourquoi ?

---Soixante-dix milliards de déficit commercial en 2011 ainsi qu’en 2012.

---Donc, l’économie Française consomme plus qu’elle ne produit.

---Or, la consommation est conséquente du pouvoir d’achat des consommateurs.

---Toute diminution du pouvoir d’achat (Impôts) entrainera une diminution de la consommation d’où récession de l’économie.

 

L’erreur de François Hollande est d’inverser l’ordre des priorités :

La priorité des priorités est de redonner à la France les moyens de créer de la richesse et d’inverser

en positif la balance commerciale.

La réduction du déficit budgétaire et de la dette ne viennent qu’après, sauf à plonger la France dans la récession et le chômage. Mieux vaut juguler d’abord l’hémorragie plutôt que de purger le malade.

 

Quelle sera dans cette affaire la responsabilité de certains économistes et médias de Gauche ?

 

 

 

 

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11 septembre 2012 2 11 /09 /septembre /2012 15:00

François Hollande est élu : Peu à peu ses promesses de campagne vont se dissoudre dans le fleuve du temps, mais restera intact l’objectif essentiel de sa politique : Maintenir le déficit du budget de la France dans les normes dictées par l’Europe, l’Allemagne et les Marchés.

 

Cette mesure n’est en elle-même pas mauvaise et, d’ailleurs, on voit mal comment pourrait longtemps survivre une zone Euro dont les membres continueraient à jeter leurs bonnets par-dessus les moulins. Cependant, force est d’admettre qu’aussi bien en Grèce, qu’en Espagne ou en Italie la purge, si elle n’a pas tué le malade, l’a couché sur le flanc. La récession gagne l’Europe et les plus pauvres de ses Citoyens sont trop durement touchés.

A cela trois raison essentielles :

1) Le contexte international.

2) Des structures Etatiques obsolètes, chères et peu performantes (1)

3) Un manque évident de compétitivité sur les marchés extérieurs.   (2)

Si l’Europe ne peut guère influer sur le premier point, son erreur, qui pourrait être fatale, consiste à requérir la réduction des déficits sans exiger et aider à des mesures drastiques sur les points deux et trois.

En négligeant de prendre des dispositions rapides et draconiennes pour restructurer l’Etat et renouer coûte que coûte avec la compétitivité manufacturière (3) la France n’a que le choix entre laisser filer le déficit ou le chômage et la récession.

François Hollande, s’il a choisi le sérieux budgétaire, ne prendra aucune des autres mesures qui doivent aller avec. Seul un Premier Ministre pugnace, volontaire et réaliste peut lui forcer la main. Foin d’un habile courtisan au service des promesses électorales, c’est Colbert qu’il nous faut !

 

1) En Grèce, par exemple, les Religieux sont fonctionnaires et payés par l’Etat.

2) Voir les chiffres des déficits commerciaux .

3) Vite et vite sans fatras ni palabres syndicales.

 

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9 septembre 2012 7 09 /09 /septembre /2012 08:37

 

 

A tort ou à raison, une majorité de Français a voté pour la Gauche sur le thème «On n’aime pas les riches» (1). Et, certains, de clamer haut et fort : «Qu’ils s’en aillent, qu’ils s’en aillent tous !» Mais quand l’un d’eux esquisse un pas vers la sortie, voici qu’un tohu-bohu d’exclamations horrifiées enfle à qui mieux mieux.

Le Peuple Français est ligoté par ses contradictions et François Hollande plutôt que de dénouer les ficelles ne fait que les embrouiller.

 

1) Sauf les nôtres…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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