Le Prince ne s’attendait pas à ce que de minuscules filaments d’acide ribonucléiques venant du fond des âges, friands de cellules humaines, viendraient, tout d’un coup, mettre à bas le rêve d’un monde nouveau où les hommes de tous pays et de toutes couleurs briseraient les barrières pour échanger ce qu’ils ont de meilleur.
Ni notre Prince, ni d’autres Princes, ni personne ne s’y attendait et dès 2011 les sachants (?) avaient arrêté les stockages de protections désormais réputés inutiles.
Point n’est besoin de blâmer le prince, il n’a fait que suivre la pente de ses prédécesseurs. Le vrai coupable c’est « l’insoutenable légèreté de l’être »
Quelle que soit l’impérative raison, la réalité est là : du jour au lendemain la démocratie a basculé dans un état totalitaire : obligation de laissez-passer, sanctions policières, suffrages annulés. Cela donne une idée de la fragilité des sociétés humaines face aux forces de la nature. Mais même le cul sur la cuisinière je doute que les hommes prennent conscience d’avoir eu chaud.
Le Prince ne s’attendait pas à ce que de minuscules filaments d’acide ribonucléiques venant du fond des âges, friands de cellules humaines, viendraient, tout d’un coup, mettre à bas le rêve d’un monde nouveau où les hommes de tous pays et de toutes couleurs briseraient les barrières pour échanger ce qu’ils ont de meilleur.
Ni notre Prince, ni d’autres Princes, ni personne ne s’y attendait et dès 2011 les sachants (?) avaient arrêté les stockages de protections désormais réputés inutiles.
Point n’est besoin de blâmer le prince, il n’a fait que suivre la pente de ses prédécesseurs. Le vrai coupable c’est « l’insoutenable légèreté de l’être »
Quelle que soit l’impérative raison, la réalité est là : du jour au lendemain la démocratie a basculé dans un état totalitaire : obligation de laissez-passer, sanctions policières, suffrages annulés. Cela donne une idée de la fragilité des sociétés humaines face aux forces de la nature. Mais même le cul sur la cuisinière je doute que les hommes prennent conscience d’avoir eu chaud.