Il n’y a plus de bruit, écoutez le silence,
Le forgeron du cœur a posé son marteau,
Le feu ne brille plus, est-ce coïncidence ?
De vallons en nuées sont partis les oiseaux.
Il avait dans sa poche un couteau replié,
L’âme pure adossée au mur des injustices,
Comme ce condamné qu’on voulait fusiller,
Au nom d’une infraction qui porte préjudice,
Potemkine……..
Je n’ai pas eu tes mots pour déclarer la guerre,
A toutes ces horreurs, par les hommes, accomplies,
Je n’ai pas eu ta voix, profonde et ouvrière,
Pour crier la souffrance aux faces des nantis.
Ou es-tu maintenant ? Quelles sombres forêts ?
Pour toi toujours la mer roulera ses galets…